Les inscriptions antiques d'Angers
ont été présentées au musée des Beaux-Arts en 2016
lors de l'exposition :
"Gravé dans le marbre !
Inscriptions et graffiti romains d'Angers"
(catalogue : François Comte (sous la dir.), Saisons des musées, n° 9, 2016, 51 p.)
"Gravé dans le marbre" : cette expression assez fréquemment utilisée pour parler d’un texte ou d’une idée qu’on ne peut modifier renvoie à l’aspect intangible des inscriptions antiques mais qui ne sont pourtant pas toujours gravées dans le marbre. C’est ainsi qu’était diffusée une partie des actes publics. Cependant l’écriture dans la société gallo-romaine se retrouve dans des documents très divers qui vont de la grande inscription sur pierre aux graffites sur céramique.
Histoire de l'épigraphie
angevine
Les grandes inscriptions sur pierre sont peu nombreuses (10 seulement pour la ville d’Angers sur les 14 000 publiées de la Gaule) et jusqu’au début du XIXe siècle, une seule était connue.
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La présentation
des collections
Une collection nomade : de l'abbaye Saint-Serge, en passant par le Logis Barrault, l'ancienne abbaye Toussaint et l'hôpital Saint-Jean, jusqu'au Parcours Histoire d'Angers au sein du musée des Beaux-Arts.
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Inscriptions funéraires
Les épitaphes sont les plus répandues parmi les sources épigraphiques conservées. Elles ont pour fonction de garder le souvenir du défunt en mentionnant son nom.
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Inscriptions religieuses
Les épitaphes sont les plus répandues parmi les sources épigraphiques conservées.
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Les graffiti
Les graffiti appartiennent à la catégorie des inscriptions mineures que l’on trouve indifféremment sur de nombreux supports.
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Les marques d'atelier
Les estampilles sont des marques appliquées avec un cachet sur la céramique avant cuisson sur l’objet avant la fonte ou la cuisson.
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Après le catalogue, la recherche s'est poursuivie :
Une borne milliaire décryptée
Un graffiti sur un gobelet dévoilé
